réflexion sur la réflexion
Je reçois aujourd'hui un mail d'une amie qui me raconte une histoire. J'avais entendu cette histoire durant mon enfance mais elle m'était sortie de la tête. C'est étrange que je la reçoive aujourd'hui.
Etant pleine de sagesse, je souhaitais la mettre sur le blog dans la catégorie méditation car elle mérite que l'on y médite. Dans tous les cas, à moi qui traverse des temps houleux ces dernières semaines, elle m'a grandement réconfortée :)
" Je vais te raconter une histoire de la culture arabe
C'est un personnage qui s'appelle Jouah . Un jour le père de Jouah décide de lui apprendre que les gens trouvent toujours quelque chose à dire. Il prend son fils et une monture et traversent ensemble trois villes.
Dans la première ville, il monte le cheval et laisse son fils marcher à coté de la monture, les gens s'exclament : " c'est honteux, il laisse marcher son fils ! Il n'a aucune compassion pour lui".
Dans la 2eme ville il met l'enfant sur la monture et marche à coté. Et les gens s'indignent : regardez cet ingrat, l’enfant laisse marcher ce vieil homme !
Dans la ville après, ils chevauchent tous les deux la monture et les gent murmurent : "la pauvre monture elle supporte leur poids".
A leur retour dans leur ville, tandis qu’ ils marchent tous les deux à coté de la monture, les gens disent : "regardez ces idiots, ils marchent a pied alors qu’ ils ont une monture !"
Quoi que tu fasses les gens auront toujours quelque chose à dire. "
Etant pleine de sagesse, je souhaitais la mettre sur le blog dans la catégorie méditation car elle mérite que l'on y médite. Dans tous les cas, à moi qui traverse des temps houleux ces dernières semaines, elle m'a grandement réconfortée :)
" Je vais te raconter une histoire de la culture arabe
C'est un personnage qui s'appelle Jouah . Un jour le père de Jouah décide de lui apprendre que les gens trouvent toujours quelque chose à dire. Il prend son fils et une monture et traversent ensemble trois villes.
Dans la première ville, il monte le cheval et laisse son fils marcher à coté de la monture, les gens s'exclament : " c'est honteux, il laisse marcher son fils ! Il n'a aucune compassion pour lui".
Dans la 2eme ville il met l'enfant sur la monture et marche à coté. Et les gens s'indignent : regardez cet ingrat, l’enfant laisse marcher ce vieil homme !
Dans la ville après, ils chevauchent tous les deux la monture et les gent murmurent : "la pauvre monture elle supporte leur poids".
A leur retour dans leur ville, tandis qu’ ils marchent tous les deux à coté de la monture, les gens disent : "regardez ces idiots, ils marchent a pied alors qu’ ils ont une monture !"
Quoi que tu fasses les gens auront toujours quelque chose à dire. "